Cette décision est "un échelon de plus dans cette résistance contre des mesures gouvernementales qui impactent les collectivités territoriales", a réagi le maire communiste de Port-Saint-Louis du-Rhône, Jean-Marc Charrier, cité dans le quotidien La Marseillaise.
"Il est hors de question de laisser des enfants à la surveillance de personnes non qualifiées et ce n'est pas à la commune de pourvoir à l'éducation des enfants, c'est à l'Etat", a-t-il dit.
M. Charrier avait fait voter fin septembre une motion dans laquelle la commune, seule des Bouches-du-Rhône à avoir été assignée devant le tribunal administratif, affirmait son refus d'appliquer le SMA.